La Surfpistols ISUP 11′ x 30 est toute rouge (enfin le modèle que nous avons testé). C’est une 11′ par 30″ qui offre 280 litres de volume. C’est une planche très facile avec un arrière large qui reste accessible. La finition n’a rien à voir avec une Red Paddle par exemple. C’est plus classique. Mais le pads est confortable et la présentation soignée. Le logo est réussi, rock’n roll.

Sur l’eau la planche est accessible. Un débutant de moins de 80 kg ne sera pas perturbé par cette planche. La glisse est bonne, cette 11′ procure une excellente vitesse. Ce qui pourra au départ surprendre, c’est sa tendance à se mettre sur la gite avec son étrave. D’aucun dirait qu’elle roule un peu, c’est selon, une fois que l’on a compris le truc, on peut tirer partie de ce comportement et jouer avec la planche vivante sous les pieds pour accélérer.

Pour ceux qui souhaiteraient plus grand ou plus petit, il existe aussi une 10′ et une 12′, cette dernière est vraiment imposante. Cette 11′ Surfpistols est donc une bonne affaire à 680 € pour un premier prix attractif dans les shops.

Surfpistols ISUP 11′ x 30

Longueur : 11′
Largeur : 30″
Epaisseur : 6″
Largeur au tail : –
Volume : 280 l
Aileron : US box
Poids : –
Fabrication :

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Pour 2016 Naish remplace son emblématique 14 Glide par un tout nouveau modèle répondant au doux nom évocateur de « Maliko » (run mythique de downwind à Maui). Pas besoin donc d’un long descriptif sur le programme, cette planche est faite pour les bons runs abattus en « open water ».

Shape

La construction est haut de gamme avec un sandwich nid d’abeille sur le pont et un sandwich PVC sur la carène. L’étrave et le tail ont été renforcés pour une meilleure résistance au choc (Impact). Le nose qui était relativement pointu sur le millésime précédent a laissé place à un nose plus volumineux et très arrondi avec un peu moins de scoop qu’en 2015. Le pont est légèrement creusé au centre, un outline avec des rails parallèles se termine sur un bon square tail. Les rails sont bien droits et le boîtier d’aileron reculé.

Sur l’eau

Pour réaliser ce test, direction l’Afrique du Sud. Profitant d’un trip sur Cape Town, spot très venté, c’est donc au large de Sunset que sera réalisé cet essai. C’est avec le team Naish South Africa que j’ai rendez-vous sur le parking de Big Bay, point d’atterrissage du downwind au nord de la baie de Cap Town, on a un vent établi à 40 nœuds, une houle de 4 mètres pour 15 secondes de période. Si avec ces conditions je ne vois pas ce que cette Maliko a dans le ventre, je me mets au tricot au printemps.

Il est 18h00, nous sommes au point de départ, 12 km au vent au dessus de Milnerton et heureusement, un peu abrité de la houle. Peter, le distributeur sud-africain de Naish, me confie la 14′ x 24 », il choisit la 14′ x 26 »  plus adaptée à son gabarit de bon « Sud Af » me dit-il (il doit avoisiner les 100 kg pour 1m90). Le chauffeur de la navette m’aide à mettre la planche à l’eau, ce qui n’est pas un luxe car le vent n’a qu’une obsession, celle de me déposséder de mon nouveau jouet qui par son poids light ne demande qu’à jouer les planeurs.

Dès les premières secondes, on remarque qu’un gros travail a été fait sur la stabilité ce qui est appréciable quand on s’apprête à devenir le maillon faible de la chaîne alimentaire local et qu’en guise d’échauffement une bonne barre de vagues est à franchir avant de glisser dans le vent.
Sur le début du run comme le vent est side off, les bumps se forment progressivement. Je suis agréablement surpris de voir que la planche se comporte très bien sur les petits bumps de vent. On constate vraiment une différence de glisse sur les portions moins rapides par rapport aux millésimes antérieurs. Ce qui est surprenant, c’est la position très reculée à adopter même sur le plat. Le pied avant doit se situer à l’avant de la flèche sur le pads soit au moins 40 cm derrière la poignée. On a donc l’impression d’être sur une board de plus de 14′.

Les bumps commencent à grossir et je peux commencer à exploiter le potentiel de la planche, la conduite et le contrôle dans les surfs sont vraiment agréables car on est vite en position surf et il suffit juste de réguler l’assiette de la planche en bougeant le pied arrière ou en transférant un peu son poids. Par contre pour relancer la planche, il ne faut pas avancer pour charger l’avant sous peine de la faire ralentir et dire adieu au bump tant convoité.
Le confort et la facilité à enchaîner les surfs dans ces conditions font que l’on aurait envie de rallonger le parcours (les 12km seront avalés en 50 minutes, pas une de plus).
J’approche de l’arrivée et là, il va falloir composer avec les nombreux windsurfers surfant des sets d’une taille de mât. A défaut de tester les qualités de la planche en surf dans ces conditions, c’est la résistance et l’élasticité de mon leash que je vais mettre à l’épreuve. Et c’est en mode torpille que je termine ce donwnwind sur le spot de Big Bay, pas mécontent de rentrer cette Maliko en une seule pièce aux 100 kilos de mon ami Peter.

En résumé

Une planche très fun avec des sensations de surf d’un longboard, pour les bons downwind mais qui ne se traîne pas non plus sur le plat. Un shape attendu par de nombreux pratiquants amateurs de downwind qui devrait être à la fois performant, sain et accessible en 26 ».

Le point de vue de Michi Schweiger, designer de Naish

Toutes nos planches sont testées par le team, Kai Lenny, Bernd Roediger, Casper Steinfath et Kody Kerbox. Nous cherchons les meilleures conditions en fonction des programmes des planches. Pour les Javelin, les tests se sont déroulés entre l’Europe, l’Asie et Maui. Parfois, quand la logistique est trop compliquée, nous faisons venir des membres du team en Asie pour finaliser les tests là-bas.

Avoir une planche facile n’est pas simplement important pour nos clients, mais aussi pour nos top riders. Quand la fatigue se fait sentir, avoir une planche facile peut faire la différence. Cette facilité de rider les planches est une combinaison entre rocker et stabilité. Ce dernier paramètre résulte de la largeur du nez. Le rocker détermine les déplacements sur la planche en downwind, s’ils sont trop récurrents ils provoquent de la fatigue sur des longues distances. Le nez large permet de passer les sections les plus imparfaites sur les vagues.

Le design des grandes planches évolue. Ce process est possible via les logiciels de shape qui permettent des évolutions dans les formes. Toute la problématique pour la Maliko était d’avoir un shape Open Ocean facile en downwind et permettant d’avoir de top accélérations.

Existe aussi en 14×26 249 litres
Ainsi qu’en 12’6 dans les mêmes largeurs.

Par Yves Gondre

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La Red Paddle 9’6 x 34 Flow est la planche de rivière de la gamme Red Paddle. Sur le papier, cette Flow a beaucoup d’atouts. La fabrication MSL Fusion est un must, la planche est large avec un arrière sur lequel il est facile de caler son pied arrière. La forme de l’outline est originale avec ce décrochement en biseau. 5 poignées sur le pont, c’est parfait. Donc en théorie, cette Red Paddle 9’6 x 34 Flow a tout pour plaire.

On ne va pas tourner autour du pot, cette Flow a un gros handicap selon nous (et selon de nombreux adeptes qui l’ont testée), le positionnement des ailerons est trop avancé. Le row est important et il est parfois difficile de bien se caler sur la bonne trajectoire pour passer un seuil ou éviter des rochers. Il faudra donc s’habituer à ce shape pour le maitriser. Autre moins à noter, le rocker est peu important ce qui implique que la planche est plus chahutée par les vagues. Jérôme Alberto, le rider français de la marque en rivière y arrive très bien. Disons que cette Flow est moins accessible qu’elle pourrait l’être. Prix : 1059 €

Red Paddle 9’6 x 34 Flow

Longueur : 9′6
Largeur : 34’’
Épaisseur: 5.9″
Largeur au tail : –
Volume : 300 l
Aileron : 3 ailerons souples
Poids : non mesuré
Fabrication : MSL Fusion

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Déballage

Un gonflable, ce n’est plus « simplement » une planche premier prix qui plafonne en performances. Si le gros des planches vendues sont des 10’ polyvalentes prisées pour leur stabilité, de nombreux rameurs ont aussi adopté les gonflables pour une pratique plus sportive. Les 12’6 gonflables sont donc montées en gamme. Les progrès sur les matériaux sont tels que désormais, les performances des shapes en touring, race ou river sont indiscutables et cela s’en ressent sur l’eau. Le premier contact avec une planche gonflable commence avec la présentation générale, et donc le sac. Avoir un modèle pratique qui permet un transport aisé n’est pas accessoire, loin de là. Celui de Red Paddle est toujours de très bonne facture avec deux roues bien dimensionnées pour passer partout, de bonnes sangles, des renforts. Le volume est important ce qui permet un rangement aisé. Croyez-nous sur parole, ça n’a pas toujours été le cas pour de nombreux fabricants. Dans le sac, outre la planche, nous avons trouvé la fameuse pompe Titan. Plus lourde avec les deux pompes 2en1 sur le même socle, c’est un modèle très efficace pour gonfler vite et bien. Et heureusement que cette pompe est donnée avec nos modèles en test car nous avons monté la pression à 20 PSI, histoire de voir ce que les planches avaient dans le ventre. Mais avant de grimper dans les tours, nous avons installés (après quelques coups de pompes donnant la forme de la planche) les deux lattes en fibre qui rigidifient les Red Paddle. Un système assez facile à mettre en place, encore faut-il ne pas les oublier dans le sac. Ne rigolez pas, ça nous est arrivé. La planche gonflée, nous avons installé les ailerons en fibre dans les boitiers US box avec une visse de serrage à la main, pratique, fonctionnel et bien pensé. Les planches sont bien équipées avec poignées de portage (pour le transport ou la beach race), un bon grip, une pièce en plastique pour rigidifier le rocker de l’étrave l’étrave. Red Paddle monte en gamme chaque année, la présentation est soignée.

Génèse

Rencontré sur le Nautic, l’un des responsables de la marque nous avait confié que Red Paddle avait réalisé un très gros développement sur ses nouvelles planches 2016. Ce développement a même nécessité la construction d’une nouvelle unité de production chez le fabricant coréen installé en Chine (ça s’appelle la délocalisation). Nous avions visité l’usine de Red Paddle en 2015, ce sera désormais impossible aujourd’hui car les responsables de la marque ont « verrouillé » les accès. En garantissant un certain volume de commandes, Red Paddle s’adjoint aussi une technologie innovante, le MSL Fusion. Jusqu’à 2015, la fabrication d’une planche était réalisée en plusieurs étapes manuelles. Assemblage de la planche avec la première couche. Ajout d’une seconde peau via un collage (colle PVC). Si le principe est solide et fiable, il présentait des désagréments. Le premier est la colle, c’est un surcoût, un composant qui pollue, et ça engendre du poids. L’éliminer, c’est gagner plus d’un kilo, deux sur des planches de plus de 10’. C’est pourquoi Red Paddle a opté pour le MSL fusion. C’est un collage par thermoformage des deux peaux. Ces dernières forment une structure plus rigide. En outre, la Fusion intègre une trame de verre. Cette technologie avait été pensée par Mathieu Rauzier de Starboard. Elle permet de gagner en rigidité, limite les effets de torsion, à terme certaines marques « ecofriendly » veulent en finir définitivement avec le PVC (c’est le cas de Starboard). On a beau être concernés par toutes les questions liées à l’environnement, nous ne sommes pas toujours exemplaires avec nos jouets. Pour en terminer avec la fabrication, un dopstitch (ensemble des filaments à l’intérieur de la planche) dense et résistant à l’élasticité permet de « structurer » la planche. Le MSL Fusion est sur le papier une belle avancée. Qu’en est-il sur l’eau ?

Sur l’eau

Nous avons réalisé ce test sur un plan d’eau plat pour connaitre la vitesse intrinsèque des deux planches, la 26’’ et la 28’’. C’est par cette dernière que nous avons commencé nos relevés GPS, une ligne droite de 500 mètres, un petit virage et retour au point de départ. Simple. La 28’’ est très confortable et accessible. C’est une planche qui ne présente pas de difficulté et un rameur moyen y trouvera son compte. Elle a, on le sent d’emblée, une excellente glisse. Sa stabilité permet d’alimenter à la rame, ça file vite et bien. Sans jouer les énervés, la planche est au-dessus de 8km/h sur nos relevés, une pointe à 8,5 si on cadence un peu. On attendait donc avec impatience de filer sur la plus étroite de ces 12’6, la 26’’. Pas de gros souci sur le plat pour la stabilité de l’engin. On sent la différence mais l’écart n’est pas insurmontable sur le plat. Malgré les températures peu clémentes de ce test (5° dehors, on n’ose pas vérifier la température de l’eau), la planche est saine. Même sensation de vitesse et de rigidité sur l’eau. Cependant, nos mesures montrent un rendement moindre, un peu en dessous de 8km/h. On a bien pris soin de se reposer entre les différentes accélérations pour limiter des écarts dus à la fatigue de nos petits bras de gratte papier. Nous renouvellerons plusieurs essais et les mesures seront les mêmes. Qu’en conclure ? Que la 26’’ est plutôt destinée à des gabarits en deçà de 75 kilos. Au delà, il vaut mieux opter pour la 28’’. Le surcroit de volume vous permettra de rester plus haut sur l’eau et de surfer la vague générée par l’avancement de la planche, phénomène plus difficile à obtenir sur la plus petite des planches. Notons les arrières fins de ces planches gonflables, le pintail est un bon choix pour favoriser les sorties d’eau et obtenir de bons résultats. En conclusion : avec sa gamme sportive comprenant ces deux 12’6 mais aussi une 10’6 x 24’’ pour les kids et une 14’ x 26’’, Red Paddle se positionne comme une alternative sérieuse et crédible avec sa fabrication Fusion MSL aux autres planches de cette catégorie mais aussi face à certaines planches rigides. Le gain pour le transport ou le stockage d’une gonflable n’est plus à démontrer, la solidité sans équivalent, voilà des planches rouges et noires désormais de plus en plus performantes en vitesse pure, on devrait donc les retrouver en de bonnes places sur de nombreuses courses cette année.
Tarif des deux planches : 1329 €

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La Red Paddle 11′ x 30″ Sport 2016 est dorénavant dotée d’une fabrication dite Fusoin MSL qui lui offre une rigidité et une poids inférieur de 2 kg par rapport au modèle 2015. C’est très sensible entre les deux versions. Plus rigide, plus légère et nerveuse, la Red Paddle 11′ x 30″ Sport 2016 sera donc plus performante. Aucun doute sur ce point. sur l’eau, on apprécie la bonne glisse de la planche, son confort et sa stabilité malgré une épaisseur moindre de 4.72″ (le volume reste confortable avec 300 litres). Le nez pointu est directionnel mais son gros plus est son arrière large qui est un vrai plus pour tous les virages. La planche vire sur place avec une bonne technique, c’est joueur.

Au niveau équipement et fabrication, cette Red Paddle 11′ x 30″ Sport se situe dans le haut de gamme. Double poignée néoprène (la seconde près du leash n’est pas indispensable en pratique), bon pads, excellente pompe et sac remarque dans sa conception. Au final, une excellente planche dans un programme un peu marginal entre les 12’6 Touring et les 10′ polyvalentes. Cette Sport a un prix, 1149 €, tout se paye mes chers amis mais c’est un shape qui pourra durer et vous permettre de progresser sur du plat voire de petites vagues.

Red Paddle 11′ x 30″ Sport

Longueur : 11′
Largeur : 30″
Épaisseur : 4.72″
Largeur au tail : –
Volume : 300 l
Aileron : Us box
Poids : non mesuré
Fabrication : MSL Fusion

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La Red Paddle 9’8 x 31″ Ride est une planche qui s’adresse principalement à de petits gabarits (max 75 kilos). Avec ses 3.9″ d’épaisseur, elle ne propose « que  » 193 litres, ce qui est moindre que de nombreuses planches de cette catégorie. La fabrication MSL Fusion est vraiment la grosse nouveauté de cette édition 2016 (par rapport à l’édition 2015). Le gain en poids est important, moins 2 kg sur la balance, il y a aussi une rigidité bien supérieure ce qui augmente les performance de la planche. Si le nez est rond et large pour offrir de la stabilité sur le plat, l’arrière pintail est plus étroit pour aller jouer dans les surfs le cas échéant. Le programme de cette Red Paddle 9’8 x 31″ Ride est donc très large. Sur le plat, ne vous attendez cependant pas à une planche très rapide. L’équipement est revu en 2016 à la hausse avec pompe double action, sac très pratique avec des roulettes, poignée néoprène confortable. Cette montée en gamme a un coût : 999 €.

Red Paddle 9’8 x 31″ Ride

Longueur : 9′8
Largeur : 31″
Épaisseur : 3.9″
Largeur au tail : –
Volume : 193 l
Aileron : Us box
Poids : non mesuré
Fabrication : MSL Fusion

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Nicolas Fayol nous a laissés en test cette 12’ par 32’’ en 6’’ d��épaisseur. La planche présente un outline avec une largeur (maître bau) située un peu plus sur l’avant, ce qui augmente confort et stabilité. Avec ses 330 litres de volume, cette dernière est efficace sur toute la planche. Un débutant trouvera facilement ses marques. La CruisAir est dotée d’un double layers mais la planche est incroyablement légère. Facile à transporter, elle est vive sous les pieds. Nous avons aimé la déco sur la planche très graphique. Nous n’avons pas eu le sac ni la pompe, donc nous ne pouvons pas nous prononcer sur cet équipement. La poignée centrale est une simple sangle, vu le tarif annoncé, de petits détails pourraient être plus cossus. Élastiques pour charger un sac devant le rameur, aileron à « glissière » comme sur les premières générations de stand up, c’est très fonctionnel et le système a fait ses preuves. On retiendra surtout de cette JP son potentiel de vitesse excellent et son accessibilité pour une utilisation en balade même pour des rameurs peu expérimentés.

JP Australia 12’ x 32″ CruisAir

Longueur : 12′
Largeur : 32″
Épaisseur : 6″
Largeur au tail : –
Volume : 330 l
Aileron : Us box
Poids : 10 kg
Fabrication : double layer.

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Aqua Design est une marque qui propose de nombreux accessoires pour les amateurs d’eau-vive, allant du raft à la corde de sécurité en passant par les vestes étanches et une gamme de stand up paddle. On vous invite à consulter son catalogue en ligne sur le site de la marque, il fourmille de bons plans utiles pour les amateurs de stand up. Terry et Guillaume d’Aqua Design, nous ont permis de tester la Vox 9’8. La planche est très légère (annoncée à 11 kg sur le catalogue), double layers, avec un bon pads confortable. C’est une board très compacte mais qui avec ses 6’’ d’épaisseur, ses 30’’ de large et surtout ses 255 litres, n’a pas posé de problème particulier aux 90 kg de notre testeur empâté. À qui s’adresse cette planche ? À beaucoup de pratiquants du fait de sa très grande polyvalence. Elle est joueuse dans les virages et les manœuvres, stable pour se balader, parfaite pour de petits gabarits moins à leur aise sur des planches trop large. On pense aussi aux enfants qui apprécieront ramer dessus. Avec son look orange sympa, elle nous a séduits. L’Aqua Design VOX 9’8 est aussi équipée de trois ailerons pour éventuellement aller jouer en rivière voire même dans des petits surfs. À 799 € prix annoncé, c’est une très bonne affaire, à considérer avec intérêt.

Aqua Design VOX 9’8 x 30″

Longueur : 9′8
Largeur : 30″
Épaisseur : 6″
Largeur au tail : –
Volume : 255 l
Aileron : Us box
Poids : 11 kg
Fabrication : double layer

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Nous connaissons bien cette Starboard Astro Touring 12’6 x 31″. Dans notre garage, nous devons avoir le premier « sample » avec lequel nous avions fait la descente du Tarn avec le shaper Mathieu Rauzier et Gaétan Séné. Depuis les premiers protos, la planche a gagné 1’’, elle est devenue ultra légère et le niveau d’équipement est tout simplement très haut de gamme. Concurrencé en 2014 sur le marché du gonflable, le thaïlandais Starboard, a voulu siffler la fin de la récréation et se démarquer de ses concurrents. Un gros travail de recherche a alors été mené par Mathieu Rauzier le boss du développement des gammes. Nous avions suivi ce processus que vous pouvez lire dans notre numéro 14. En résulte une planche très jolie dans les finitions : liseré, travail sur l’étrave, pads arrière, poignée, aileron Tracker (à visser avec un cruciforme), élastique pour le chargement, poignée avec renfort Néoprène, c’est beau. La planche est livrée dans un sac à roulette très adapté et facile pour sortir ou charger la planche. Le top ! Dans le package, vous aurez aussi une pompe double action avec une embase ergonomique pour placer les pieds et avoir plus de force. Les demoiselles n’auront « presque » plus d’excuses pour ne pas gonfler leur planche. Sur l’eau, la planche avance vite et bien, elle est légère sous les pieds, le pads avec une surépaisseur sur l’arrière est impeccable pour reculer son pied au bon endroit dans les virages serrés. Que dire sinon que la planche vaut les 990 € annoncés, rigide, accessible et performante, on la garderait bien pour nos balades en touring.

Starboard Astro Touring 12’6 x 31″

Longueur : 12’6
Largeur : 31″
Épaisseur : 6″
Largeur au tail : –
Volume : 312 l
Aileron : Us box
Poids : 10 kg
Fabrication : Zen, existe en Deluxe

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Pour ce nouveau millésime, la F-One Race Pro a un tout nouveau nez avec une nouvelle étrave. La répartition du volume sur l’avant est revue avec un redan afin d’optimiser les performances en downwind sans nuire à la glisse sur le plat. Nous avons eu la chance de tester la 26″ et la 28″ sur des plans d’eau variés. Nos retours convergent : cette F-One  12’6 x 26″ Race Pro est très saine, elle joue la carte de la polyvalence pour un budget «  raisonnable  » face à ses concurrentes directes. En 28″, elle sera saine même pour des rameurs ayant peu d’expérience. Elle reste confortable dans du clapot, facile à ramer face au vent, elle offre facilement une très bonne vitesse. Avec le vent et le clapot derrière, F-One  12’6 x 26″ Race Pro cavale et affiche de très bonnes accélérations sur nos relevés. On n’est pas gêné par cette nouvelle étrave (peut-être moins directrice que l’ancienne) mais on gagne franchement sur des parcours plus abattus en downwind. Une très bonne évolution en sorte.

F-One  12’6 x 26″ Race Pro

Longueur : 12’6
Largeur : 28″ et 26″
Épaisseur : –
Largeur au tail : –
Volume : 240 / 260 l
Aileron : Us box F-One 10″
Poids : –
Fabrication : Carbon Sandwich

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