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BOP-Eric Terrien : “le même bilan que pour l’année dernière !”

BOP-Eric Terrien : “le même bilan que pour l’année dernière !”

Le français installé à Fuerteventura Eric Terrien nous a envoyé un petit mail racontant sa Battle of Paddle en Californie.Voici comment il a vécu son épreuve (sans mauvais jeu de mots…)

“Battle disaster, ça fait un an que je voulais prendre ma “revanche” sur les coups de pas de bol de l’année dernière. Et cette année, je n’ai même pas complèté le premier tour. J’ai pris un départ ni bon ni mauvais et je me suis rapidement calé dans les 15 premiers, mais à l’approche de la deuxième bouée en bord de plage, je suis parti en surf et je n’ai pas pu éviter celui qui était devant moi. J’ai calée ma planche sur la sienne et je suis tombé. Ma 12’6 Nidecker m’a échappée et le gars au lieu de l’arrèter en a profiter pour lui redonner un peu d’élan vers la plage ! Les vagues ont terminé le boulot…

Le temps que je la recupère, tous les hommes et la moitié des femmes (qui avaient pris le départ 1mn après les hommes) étaient passés. Trop dégouté, j’ai abandonné, je regrette peut-être un peu cette décision mais je regrette surtout de ne pas avoir mi un leash (beaucoup en utilisaient, parmis les top riders aussi), j’avais vraiment confiance en moi et les vagues de Dana Point n’avaient rien à voir comparé aux vagues dans lesquelles je m’étais entrainé. J’avais simplement oublié que cette fois-ci, je n’étais pas tout seul mais accompagné par 200 acharnés !
Sur la longue distance, je termine  2ème en 12’6 derrière Paul Jackson, là aussi un peu déçu. Mais terminer 1er en 12’6 ne m’aurait pas remonté le moral après le déception de la veille, je termine 1er dans ma catégorie planche/âge et je rapporte tout de même un petit trophée à la maison.
En fait, le scénario de l’année dernière s’est répété exactement de la même manière… Il semble que j’ai la poisse sur cette course !

Grosse rigolade par contre sur le relais avec Rico (Leroy), Greg (Closier), et la femme de Barret Tester qui à bien voulu se joindre à nous (il fallait une fille dans l’équipe).

Bilan, le même que l’année dernière mais vraiment motivé pour aborder l’annné prochaine ! Le côté très positif est nos retour avec  nos SUP Nidecker. Nous avons eu de vraiment bons feedbacks sur les planches et on c’est bien éclaté avec Abel (le shaper maison), Robert (le boss) et Eliot, ça à fait plaisir aussi de voir les autres Frenchies, Alex Ponot et JP Wuilmart nous encourager et participer aux courses avec Rico Leroy et Greg Closier

Au niveau de l’event, c’est monté d’un cran depuis l’année dernière, j’avais peur que le fait qu’il y ait eu deux battles (Hawaii et Dana Point) soit “néfaste” pour cette dernière mais eu fait pas du tout, il y avait plus de monde, le village d’exposants semble deux fois plus grand que l’année dernière, le niveau général est monté, etc …  C’est vraiment impressionnant. Voilà, je vous laisse, à bientôt, et j’ai bien remis le “Get Up N°1″ à Chuck Patterson comme demandé ;)

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Downwind à Maui

Downwind à Maui


Gaétan Séné, Laurence Leguilette et Alex Grégoire sont à Maui. Les vainqueurs femme et homme du Naish Tour dont la finale avait lieu à Marseille (voir l’article ici) participeront avec le miraculé du tirage au sort Alex Grégoire, à une course de stand up paddle downwind, la NAISH PADDLE CHAMPIONSHIP (18 juillet). En attendant, récupération des 14′ Naish et  prise contact avec la houle de Maui avec un donwwind entre  Maliko Gluch et Sugar cove. (13 miles).

Nous vous invitons à suivre les péripéties du voyage d’Alex Grégoire sur son Facebook. Ce dernier relate :

“On a fait une descente en fin de journée de 13-14 miles (8-9km). On est vraiment à 2-3 km du bord.. On s’est fait de bonnes montées d’adrénaline avec les “outsides reefs”… A un moment, une vague m’a choppé, heureusement que le leash à tenu ! Car rentrer quand il commence à faire sombre au large de Maui à la nage… Mais bon, le bonheur de se sentir en pleine houle. (…) Ce que j’aime dans le Downwind, c’ est le mélange du côté sport de la race et du côté “Art” du surf. Mélanger en plus le côté “shark time” avec la montée d’adrénaline… J’en ai fait un peu des trucs sur cette île, Wind – Kite -Race-surf-SUP… Mais c’est mon premier downwind et sincèrement de vivre la houle sur une longue distance comme ça, c’est le pied !”

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